La lenteur du TGI de Sarreguemines
Le cabinet du doyen des juges d'instruction de Sarreguemines est
débordé. Saisit en mars 2007 de deux plaintes pénales pour faux et usage de faux, d'escroquerie et de détournement de fonds par deux sociétés commerciales, le TGI de Sarreguemines n'a pas encore
trouvé la possibilité d'ouvrir l'instruction à l'encontre d'un établissement financier qui, depuis quelques temps, a perdu de son panache. Les deux plaignants ont, quant à eux, subi tous les
déboires d'exécution civile jusqu'à se voir prononcés en liquidation judiciaire. Deux poids, deux mesures !